Le Blob, une matière sonore en mouvement

Le Blob, c’est une fusion brute, un organisme musical en perpétuelle mutation. À l’image du Physarum polycephalum, il absorbe, transforme et recrache un son organique, libre et indomptable.

Rock, reggae, jazz, drum’n’bass : pas de cadre, pas de règles. Juste cinq musiciens, une énergie vive et des textes ancrés dans le réel.

L’ADN : une explosion maîtrisée

Khalifa Bélouzaa, 900 concerts, six albums, des collaborations avec Sly & Robbie, Tiken Jah Fakoly, Mad Professor... Une route tracée entre le studio et la scène, toujours en quête d’un son plus grand, plus intense.

Le Blob, ce n’est pas un leader et ses musiciens. C’est un organisme collectif où chaque membre imprime sa marque : Bertrand Dessoliers (basse), Felix Loison (guitare), Enguerrand Cléron (guitare), Jean-Luc «Nesta» Mondélice (batterie).

Un son qui frappe et traverse les frontières
Le Blob, c’est du grain, du groove, du nerf. Une voix qui percute, des textes en français, anglais, arabe.

Un son sans concessions, entre la rage et la finesse. Comme en témoigne «There’s a Light», tourné à Camden, ou la réinterprétation tendue de «Chanson pour l’Auvergnat» version nord-africaine.

Un album sculpté pour la scène
Depuis deux ans, Le Blob façonne son nouvel album avec Dominique Blanc-Francard. Le mixage est précis, l’intention brute.
Côté image, Sacha Brodeur accompagne la vision du groupe. Deux court-métrages déjà en ligne, dont un avec Jean-Pascal Zadi et Anne Benoit . D’autres en préparation.

Le live, terrain d’expérimentation

En 2025, Le Blob repart en tournée.
Pas de playback, pas de filets. Juste du son, du grain, de la matière.

Le Blob ne joue pas, il avance. Il absorbe, il fusionne, il explose.

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